Décrocher des médailles Olympiques avec Le Leica Absolute Scanner LAS et LAS-XL
Évaluation de l'influence de la géométrie sur la performance de bateaux dans l'eau
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Optimisation de la performance des kayaks de compétition grâce à l'analyse de la dynamique des fluides
La voile et le canoë sont deux disciplines sportives qui ont apporté le plus de médailles olympiques à l’Espagne. Pour réussir ces exploits, il faut bien sûr disposer de sportifs de haut niveau, mais aussi effectuer des recherches approfondies pour améliorer les résultats.
Comme les athlètes, les bateaux font l'objet d'un examen minutieux continu pour déterminer les détails susceptibles de contribuer à gagner les quelques dixièmes de seconde qui décident parfois de la victoire.
À cet effet, les fédérations espagnoles de voile et de canoë ont conclu un accord de partenariat avec l'Institut national des techniques aérospatiales (INTA), un organisme régi par le ministère espagnol de la Défense, qui met à la disposition de ces fédérations les installations du Centre d'expériences hydrodynamiques du Pardo (CEHIPAR), une structure scientifique et technique unique en son genre créée en 1928 à Madrid par la Marine espagnole.
Équipé d'un canal d'eau calme, d'un canal avec un générateur de vagues, de plusieurs tunnels de cavitation et des laboratoires de dynamique navale, le CEHIPAR dispose d'une équipe de recherche expérimentée dans l'ingénierie et l'architecture navales qui confectionne des modèles réduits de coque et d'hélice de bateau.
« Nous réalisons au CEHIPAR entre autres des coques de bateau de différentes tailles. Ces structures ont une longueur allant de deux à quinze mètres, et le diamètre de leurs hélices peut s'étendre de 200 à 350 millimètres », indique Enrique Molinelli, chercheur et ingénieur naval à l'INTA.
La précision de fabrication de ces composants est essentielle. Pour les modèles de bateau, le CEHIPAR requiert une précision jusqu'à un millimètre. Concernant les hélices, la marge d'erreur ne peut pas dépasser 50 microns.
« Notre travail au CEHIPAR consiste à analyser l'effet de la géométrie sur la performance des bateaux dans l'eau », explique Enrique Molinelli.
Pour atteindre la précision maximale dans le contrôle dimensionnel des coques et hélices, et pour vérifier leur conformité avec les normes établies, ce centre de recherches utilise la technologie Hexagon depuis près d'une décennie.
« Il y a dix ans, nous avons commencé à travailler avec un bras de mesure portable. Par la suite, nous avons fait l'acquisition d'un Absolute Arm muni d'un palpeur, puis acheté un autre pourvu d'un scanner laser. À présent, nous travaillons aussi avec un Leica Absolute Tracker combiné à un scanner laser portatif Leica Absolute Scanner LAS », déclare Enrique Molinelli.
En utilisant cet équipement pendant une heure ou deux, nous pouvons établir un rapport complet, une tâche qui auparavant demandait deux à trois jours de travail.« Grâce à la technologie Hexagon, nous pouvons vérifier très rapidement les dimensions exactes d'un objet entier de tout type. En utilisant cet équipement pendant une heure ou deux, nous pouvons établir un rapport complet, une tâche qui auparavant demandait deux à trois jours de travail », indique le chercheur INTA, qui a scanné les différents kayaks utilisés par le « dream team » du canotage espagnol – Saúl Craviotto (quatre médailles olympiques, dont deux médailles d'or), Cristian Toro (champion à Rio en 2016 dans la catégorie K2 200), Marcus Cooper (champion à Rio dans la catégorie 1000 K1) et Rodrigo Germade (champion du monde dans la catégorie K2 200 en 2017).
« La technologie fournie par Hexagon facilite notre vie, parce que nous pouvons scanner les modèles de gros bateaux, de cinq à quinze mètres de long, très rapidement. Avec un bras de mesure mécanique, cette opération prendrait des heures, parce qu'il faut se déplacer autour et l'ajuster constamment pour couvrir différentes zones, mais avec un scanner laser comme celui-ci, nous pouvons effectuer ce travail en une demi-heure à peine », ajoute Enrique Molinelli, qui souligne aussi l'extraordinaire utilisabilité de la technologie Hexagon.
« Les équipes Hexagon nous donnent la possibilité d'effectuer des vérifications sur une surface complète en peu de temps et avec des ressources humaines et mécaniques minimales », indique Enrique Molinelli, qui est enchanté par le service clients Hexagon.
Le CEHIPAR compte cinq personnes qualifiées pour l'utilisation de la technologie Hexagon grâce à la formation assurée par l'entreprise lors de l'installation de l'équipement.
« L'acquisition de cette technologie englobe une formation complète de trois jours. Nous pouvons ensuite immédiatement commencer à utiliser l’équipement et à réaliser des mesures. La génération de rapports est aussi très facile », observe Enrique Molinelli, qui qualifie la formation du service clients Hexagon excellente, car elle permet de mettre très rapidement l’instrument en fonctionnement de manière autonome.
En plus de faciliter les études navales effectuées pour améliorer la performance des bateaux et de leurs hélices, l'optimisation de leurs moteurs et la gestion du carburant, les techniques de scanning d'Hexagon interviennent dans les travaux de rétroconception du CEHIPAR.
Ces tâches permettent la numérisation et la récupération de pièces historiques ou de vieux objets fabriqués il y a longtemps, tels que le bout d’un mousqueton de la garde royale, utilisé lors de parades et de spectacles et dont la fabrication a cessé en 1943.
Comme les athlètes, les bateaux font l'objet d'un examen minutieux continu pour déterminer les détails susceptibles de contribuer à gagner les quelques dixièmes de seconde qui décident parfois de la victoire.
À cet effet, les fédérations espagnoles de voile et de canoë ont conclu un accord de partenariat avec l'Institut national des techniques aérospatiales (INTA), un organisme régi par le ministère espagnol de la Défense, qui met à la disposition de ces fédérations les installations du Centre d'expériences hydrodynamiques du Pardo (CEHIPAR), une structure scientifique et technique unique en son genre créée en 1928 à Madrid par la Marine espagnole.
Équipé d'un canal d'eau calme, d'un canal avec un générateur de vagues, de plusieurs tunnels de cavitation et des laboratoires de dynamique navale, le CEHIPAR dispose d'une équipe de recherche expérimentée dans l'ingénierie et l'architecture navales qui confectionne des modèles réduits de coque et d'hélice de bateau.
« Nous réalisons au CEHIPAR entre autres des coques de bateau de différentes tailles. Ces structures ont une longueur allant de deux à quinze mètres, et le diamètre de leurs hélices peut s'étendre de 200 à 350 millimètres », indique Enrique Molinelli, chercheur et ingénieur naval à l'INTA.
La précision de fabrication de ces composants est essentielle. Pour les modèles de bateau, le CEHIPAR requiert une précision jusqu'à un millimètre. Concernant les hélices, la marge d'erreur ne peut pas dépasser 50 microns.
« Notre travail au CEHIPAR consiste à analyser l'effet de la géométrie sur la performance des bateaux dans l'eau », explique Enrique Molinelli.
Pour atteindre la précision maximale dans le contrôle dimensionnel des coques et hélices, et pour vérifier leur conformité avec les normes établies, ce centre de recherches utilise la technologie Hexagon depuis près d'une décennie.
« Il y a dix ans, nous avons commencé à travailler avec un bras de mesure portable. Par la suite, nous avons fait l'acquisition d'un Absolute Arm muni d'un palpeur, puis acheté un autre pourvu d'un scanner laser. À présent, nous travaillons aussi avec un Leica Absolute Tracker combiné à un scanner laser portatif Leica Absolute Scanner LAS », déclare Enrique Molinelli.
En utilisant cet équipement pendant une heure ou deux, nous pouvons établir un rapport complet, une tâche qui auparavant demandait deux à trois jours de travail.« Grâce à la technologie Hexagon, nous pouvons vérifier très rapidement les dimensions exactes d'un objet entier de tout type. En utilisant cet équipement pendant une heure ou deux, nous pouvons établir un rapport complet, une tâche qui auparavant demandait deux à trois jours de travail », indique le chercheur INTA, qui a scanné les différents kayaks utilisés par le « dream team » du canotage espagnol – Saúl Craviotto (quatre médailles olympiques, dont deux médailles d'or), Cristian Toro (champion à Rio en 2016 dans la catégorie K2 200), Marcus Cooper (champion à Rio dans la catégorie 1000 K1) et Rodrigo Germade (champion du monde dans la catégorie K2 200 en 2017).
« La technologie fournie par Hexagon facilite notre vie, parce que nous pouvons scanner les modèles de gros bateaux, de cinq à quinze mètres de long, très rapidement. Avec un bras de mesure mécanique, cette opération prendrait des heures, parce qu'il faut se déplacer autour et l'ajuster constamment pour couvrir différentes zones, mais avec un scanner laser comme celui-ci, nous pouvons effectuer ce travail en une demi-heure à peine », ajoute Enrique Molinelli, qui souligne aussi l'extraordinaire utilisabilité de la technologie Hexagon.
« Les équipes Hexagon nous donnent la possibilité d'effectuer des vérifications sur une surface complète en peu de temps et avec des ressources humaines et mécaniques minimales », indique Enrique Molinelli, qui est enchanté par le service clients Hexagon.
Le CEHIPAR compte cinq personnes qualifiées pour l'utilisation de la technologie Hexagon grâce à la formation assurée par l'entreprise lors de l'installation de l'équipement.
« L'acquisition de cette technologie englobe une formation complète de trois jours. Nous pouvons ensuite immédiatement commencer à utiliser l’équipement et à réaliser des mesures. La génération de rapports est aussi très facile », observe Enrique Molinelli, qui qualifie la formation du service clients Hexagon excellente, car elle permet de mettre très rapidement l’instrument en fonctionnement de manière autonome.
En plus de faciliter les études navales effectuées pour améliorer la performance des bateaux et de leurs hélices, l'optimisation de leurs moteurs et la gestion du carburant, les techniques de scanning d'Hexagon interviennent dans les travaux de rétroconception du CEHIPAR.
Ces tâches permettent la numérisation et la récupération de pièces historiques ou de vieux objets fabriqués il y a longtemps, tels que le bout d’un mousqueton de la garde royale, utilisé lors de parades et de spectacles et dont la fabrication a cessé en 1943.